La secrétaire d’Etat souligne les très bons résultats de FACE Loire-Atlantique !

À l’occasion de sa venue à Saint-Nazaire, le 20 février dernier, Myriam El Khomri, secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, chargée de la politique de la Ville, a participé à une table ronde constituée de quelque 60 participants, représentants d’entreprises et du monde associatif ainsi que des élus.

 

L’objectif de cette rencontre était de réfléchir au développement économique dans les quartiers prioritaires et des actions d’emploi concrètes à mettre en place. Cette table ronde visait aussi à lever les freins à l’emploi et comprendre les difficultés rencontrées par les publics.

Autant de questions majeures dans le bassin de Saint-Nazaire qui compte 70 000 emplois privés, mais un taux de chômage qui tourne, depuis 2007, autour de 9.5 %. Soit un point de plus que la moyenne du département (8.5 %).

 

Il touche particulièrement les hommes (53 % des demandeurs d’emploi) et les moins de 25 ans (41 %). Par ailleurs, le nombre de chômeurs depuis plus d’un an a augmenté de 50 % en 2014.

 

Jean Michel Maillet a présenté les actions que le club d’entreprises FACE Loire Atlantique, qu’il préside, mène depuis 2006 à Nantes et Saint-Nazaire.

 

À titre d’exemple, la charte « entreprises et quartiers » est une déclinaison locale de la nouvelle politique de la ville. Ainsi, l’événement organisé à Nantes, en décembre dernier, conjointement par FACE Loire Atlantique, IMS Ouest, Réso Villes et l’État, a permis, à 30 entreprises partenaires signataires de la charte, de s’engager sur de bonnes résolutions.

L’un des axes d’amélioration reste sans doute la mobilisation, plus nombreuse, des PME, réel réservoir d’embauche.

Durant cette table ronde, la ministre a souligné, à plusieurs reprises, les très bons résultats en insertion professionnelle réalisés par FACE Loire-Atlantique.

À noter, le territoire de Saint-Nazaire est pressenti pour mener des actions expérimentales, bassin d’emploi favorable puisque les acteurs sont déjà mobilisés et prêts à s’investir sur des actions « innovantes » et « fraternelles ».